Quelle connerie la guerre !

D'un violent coup de botte, Dick enfonce la porte. Son pistolet-mitrailleur à l’épaule, il inspecte rapidement la maison. Personne. Il n’y a plus personne. C’est un village fantôme.

En même temps que les premières explosions à l’autre bout du hameau, le hurlement du lieutenant.

- On évacue. Fissa ! En ordre dispersé. Regroupement dans le bois droit devant.

Comme tous ses camarades du commando, Dick se précipite dans la rue principale...

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Je vous remercie de votre compréhension.

Philippe GÉRARD